Selon l’étude menée sur 200 entreprises par Daniel Goleman – psychologue américain – 60 % de l’évolution des résultats d’une entreprise sont dus aux compétences émotionnelles de ses employés. Un paramètre bien trop ignoré par le passé, mais que l’on ne peut aujourd’hui que prendre en compte, en cette époque où motivation et résistance au stress sont au cœur de certains postes en entreprise.

Dans une démarche de recrutement, c’est cette intelligence émotionnelle qui nous aide à faire correspondre au mieux les compétences et aspirations des candidats avec les besoins réels de l’entreprise qui recrute.

Si les compétences professionnelles/métiers restent fondamentales, le profil du candidat s’enrichie de ses motivations et désirs individuels. Et là, on ne parle pas du « blabla » mis en avant dans une lettre de motivation souvent copiée sur internet, on parle bien d’une évaluation fine du savoir-faire et savoir-être du candidat, que seul un professionnel expérimenté, comme Vocation Recrutement peut faire.

Cette méthode qui combine différents paramètres pour identifier le meilleur profil pour un projet ou une mission prend tout son sens dans la réussite du recrutement. Elle demande au recruteur une expertise plus poussée en termes de conseil pour son client et induit également un sourcing plus large et plus efficace. Si l’investissement de départ semble bien plus important, le retour sur investissement l’est tout autant : on diminue ainsi le risque d’ « erreur de casting », tant du côté recruteur que recruté.